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   Tout d'abord l'attentat du mardi 11 septembre est un véritable déclic pour le gouvernement américain . En effet,  cet évènement a marqué la population d'Amérique, car jamais les États-Unis n'avaient subi sur leur sol un attentat de cette ampleur. Au total on dénombre près de trois mille morts, les chaines de télévision du monde entier ont transmit l'attaque en direct et ne cesse depuis de repasser les images des deux tours qui s'effondrent. New York capitale économique et washington capitale politique ont été frappées par cet attentat meurtrier. Selon les autorités Américaines, cet attentat à été organisé par Ben Laden et son mouvement terroriste Al Qaida. Cet événement marque le gouvernement fédéral des États-Unis et celui de nombreux autres pays, qui ont réagit en renforçant leurs législation anti-terroriste en premier temps l'administration Américaine lance une « guerre contre le terrorisme » notamment en Afghanistan dès octobre 2001 dont le régime taliban favorable à Al Qaida était soupçonné d'héberger Ben Laden. Cet événement symbolise le drame et la douleur causés par les terroristes chez les citoyens Américains et suscite,  entre autres, une volonté de  vengeance  dans une partie de l'opinion publique. 

 

   Saddam Hussein, dirigeant de l'Irak, est connu pour  avoir plongé son pays dans des guerres. Il a ainsi  détruire son économie en voulant satisfaire sa soif d'expansion. Malgré le fait que l'Irak ai ét é un des pays des plus prometteurs sur le plan économique.   Son parti, le «Parti Bass» a pour but d'unifier les différents États arabes en une seule et grande nation. Il a été créé en 1947 à Damas, afin de proclamer leur «renaissance». Ce parti arrive au pouvoir en Irak en 1968. il le perd en 2003, à la suite de l'intervention américaine dans le pays. Cette même année, une coalition d'État menée par les États-Unis et le Royaume Unis envahit l'Irak pour renverser Saddam Hussein, alors que les forces occidentales l'accusent de détenir les armes de destruction massive et d'entretenir des relations étroites privées et secrètes avec les organisions terroristes telles qu'Al Qaida (accusations qui s'avèreront plus tard toute fois infondées). Cette idée change la politique étrangère des États-Unis, désormais centrée autour de la guerre contre le terrorisme. Elle vise à détruire les régimes jugés dangereux, les «États voyous» qui mettent en péril la paix dans le monde et la sécurité des États-Unis, à les remplacer par des démocraties, à livrer une guerre totale au pays, aux mouvements qui combattent les valeurs occidentales capitalistes. Pour éviter qu'un nouveau 11 septembre ne se produise, George W.e Bush va appeler à la «guerre préventive». C'est la justification que Bush met en avant pour justifier son offensive en Irak, en dépit des réticences de bon nombre de ses alliés, Français et Allemand notamment.

 

    La dernière des raisons avancée par les américains, cette fois-ci faite de façon implicite, est celle de la «dissuasion». En effet, comme l'explique Martin Wolf du Financial Time « La loi suprême, c'est la sécurité de la république (américaine) … la recherche d'une sécurité absolue pour les États-Unis, aboutit à faire vire les autres dans une insécurité absolue». Les États-Unis cherchent aussi à se faire craindre des autres nations en «adressant un message très clair à ceux qui n'auraient pas entendu l'avertissement lancé par Washington a lendemain des attentat de Septembre 2001. Cette raison s'avérant être celle qui a le plus influencé. Le message à faire passer au monde entier est le suivant : « on ne s'attaque pas au États-Unis ». Sortant d'un contexte de guerre froide assez récent, les États-Unis ont une nouvelle fois l'occasion de s'affirmer dans le domaine militaire et ainsi pouvoir réclamer le titre de « grande puissance » à l'échelle mondiale.

 

    En plus de la menace  liée à Saddam Hussein, l'Irak possédait un enjeux qui, aux yeux des américains, représentait une menace. En effet, l'Irak est le troisième producteur  de pétrole au Moyen Orient, on peut donc dire que l'Irak est indéniablement une source majeure d'énergie en détenant à lui seul un tiers de la production mondiale de pétrole brut ( soit quasiment deux fois plus que les États-Unis avec 17%). D'autant plus que les États-Unis détiennent la place de premier consommateur pétrolier. Étant un fournisseur potentiel majeur poutr les Etats-Unis ,  le pétrole de l'Irak devient alors un moyen de pression. Or les EU ne peuvent pas se permettre de se «soumettre» à la dictature énergétique. Par conséquent, l'Irak devient non seulement une menace géographique (situation pétrolière) mais également politique (Saddam Hussein et son parti bass). C'est là la définition exacte du terme géopolitique qui prend en compte ces deux éléments en étudiant les relations internationales et les données géographiques qu'elles impliquent.  Comme on peut le voir la carte illustrant les réserves pétrolières dans le pays de l'Irak, la « politique pétrolière » est omniprésente notamment avec les pipelines , les points d'extraction de pétrole, les raffineries ou encore les champs pétroliers.

 

    Le néo-conservatisme ou néoconservatisme est une idéologie politique dont les origines sont Américaines. Cette idéologie est apparue à la fin du vingt siècle. Cette idéologie a influencé les politiques menées par Georges Walker Bush, signifiant un ré-alignement de la politique américaine, d'où le terme qui fait référence aux «nouveaux» conservateurs. Pour eux, le terrorisme aurait remplacé le nazisme et le communisme comme un nouvel ennemi à abattre. Dans le contexte de la guerre d'Irak,  les américains n'ont pas nié le fait qu'il s'agissait également de « changer le régime à Bagdad » et ainsi accomplir l'objectif des néoconservateur: celui de généraliser le modèle de la démocratie libérale.  Il est aussi dit dans le texte que les néoconservateurs veulent faire du renversement de Saddam Hussein une sorte de « marqueur idéologique ». D'autre part , pour le président George W. Bush ainsi que pour le vice président Dick Cheney et certains républicains : « Chasser Saddam Hussein du pouvoir, c'est favoriser l'installation d'un régime démocratique à Bagdad, souhaité par tous les Irakiens, et ancrer ainsi un pôle de modération qui servira d'exemple à toute la région – de Téhéran à Damas

George Walker Bush est né le 6 juillet 1946 à New Haven Connecticut , c'est le 3ème président des Etats-Unis après avoir été élu deux fois consécutives président du Texas. Son père est l'ex président Américain George Helbert Washington Bush. Sa présidence est notamment marquée par les attentas du 11 septembre 2001, par la politique internationale dite de « guerre contre le terrorisme», par les guerres d'Afghanistan et d'Irak. Aîné d'une famille de six enfants, George W. Bush naît la première année du baby boom à New Haven, dans l'État du Connecticut. Il fait son service millitaire en s'engageant dans la garde nationale aérienne du Colorado en 1968 où il devient pilote d'un .-102. Son mandat commence le 20 janvier 2001 et se termine le 20 janvier 2009 .

Richard Bruce Cheney dit Dick Cheney, est né le 30 janvier 1941 à Lincoln (Nebraska), c'est un hommes d'affaires et un homme politique Américain. C'était le vice président de Georges Walker Bush lors de son mandat de 2001 à 2009.La carrière politique de Dick Cheney commence en 1969 dans l'administration de Richard Nixon, au sein même de la Maison blanche.

Sous la présidence de Gerald Ford, Cheney devient secrétaire général de la présidence. À cette époque, avec Donald Rumsfeld, secrétaire à la Défense, il s'oppose à la politique d'apaisement d'Henry kissinger que les deux hommes jugeaient trop molle à l'égard de l'Union soviétique. En 1976, il dirige la campagne de Gerald Ford aux côtés de James Baker. En 1978, Cheney est élu en tant que républicain au Congrès fédéral où il représente le Wyoming et est réélu jusqu'en 1989.

 

    Cependant, nous pouvons maintenant nous demander s'il n'y a pas des limites à cet engagement des es États-Unis.

La décision d'une intervention en Irak sème, d'une part, un désaccord au sein de l'Europe. En effet, on constate une doute qui se généralise face à la politique américaine. Par exemple, dans trente pays européens, 82% s'opposent à cette intervention sans décision préalable des Nations unies. De plus, en cas d'acception de la guerre par Conseil de sécurité, une majorité des citoyens d'Europe se serait opposée à cette intervention. Les Britanniques quand à eux sont les seuls au sein de UE à avoir une vision positive de l'action des États-Unis. Cependant, ils considèrent néanmoins que les américains sont avant tout motivés par le contrôle des ressources pétrolière d'Irak et que G.W.Bush ne devrait pas intervenir militairement contre Bagdad sans l'accord de l'ONU.

En effet, il faut savoir qu'en plus d'avoir  créer une discorde parmi les pays européens, cette intervention n'a pas obtenu l'approbation de l'ONU.

Cependant, compte tenu du fait que la France, la Russie et la Chine ont menacé d’utiliser leur droit de veto pour empêcher une approbation par l’ONU d’une intervention armée contre l’Irak,  les États-Unis et le Royaume-Uni, ont  décidé d’attaquer l’Irak sans l’aval du Conseil de sécurité. Plus tard, les États-Unis et leur allié britannique ont réussi à « amener en douceur » le conseil de sécurité à leur confier la reconstruction de l'Irak, l'exploitation des ses ressources pétrolières. De plus, l'administration de Bush a obtenu en moins de deux semaines, et avec un soutien quasi unanime (y compris de la France, de l'Allemagne et de la Russie) l'acceptation de la prise de contrôle d'un pays par la « puissance occupante» dite désormais «autorité» au lieu de le placer sous l'administration, voire tutelle de l'ONU.

Le fait que l'ONU se rallie au mouvement américain montre bien que celle-ci, estimée au début comme un obstacle aux projets américains, devient actrice de celui-ci, et ne peut donc plus être considérée comme une limite a l'intervention en Irak.

Cette guerre ne peut pas être qualifiée de guerre longue (si on se fie aux dates officielles données par le gouvernement Américain) car le début de cette guerre déclaré par la coalition menée par les États-Unis est le 20 mars 2003. Seulement un peu plus d'un mois plus tard, le président des États-Unis Georges Washington Bush déclare l'achèvement des combats le 1er mai 2003. Alors qu'un ultimatum lui est lancé avant le premier engagement des forces Américaines, Saddam Hussein finira arrêté et exécuté par ces dernières. Cet ultimatum fut lancé 48 heures avant le lancement des missile Américain sur la vile de Bagdad. Ce dernier demandait au président irakien Saddam Hussein ainsi qu'à ses fils Oudaî et Qusay de quitter l'Irak afin d'éviter ce conflit. On peut dire que cette guerre a prit un aspect asymétrique dès le début car il n'y a pas eut de front distinguable. Les affrontements présents ne sont pas réellement direct puisque la plupart sont des embuscades impliquant plusieurs groupes d'insurgés, des milices, des membres d'Al-Qaida, l'armée américaine et les forces du nouveau gouvernement irakien. Pour les Américains et la coalition, il est très difficile de s'attendre à des affrontements prévisibles. D'autant plus que cette guerre illustre parfaitement le « guerre moderne » qui se distingue par des affrontements à distance telles que les frappes aériennes ou les missiles guidés.

A la fin des combats, on peut enfin observer les conséquences multiples sur le territoire Irakien. Ces dernières affectent la politique, l’économie, les forces militaires (armée Irakienne), et on peut aussi voir que la population civile est fortement touchée par ces événements. Les conséquences humaines sont donc importantes. Par ailleurs, Saddam Hussein est chassé du pouvoir lui et sa famille, c'est la fin du parti Bass également. Un nouveau gouvernement provisoire apparaît dès lors, choisi par la coalition qui a pour objectif de réorganiser la politique irakienne et d'introduire un gouvernement «démocratique». On voit donc que l'objectif d'origine néoconservateur est accompli. D'autre part, on observe une hausse spectaculaire du prix du pétrole et de ses dérivés. Suite à la libéralisation de l'économie, on constate que le nombre d’entreprises privées se multiplie par quatre. Sur un point de vue humain maintenant les conséquences sont aussi dramatiques qu'impressionnantes. Effectivement, des milliers de morts sont estimés durant le conflit et on constate environ 200 000 migrants qui se sont réfugiés en Iran, en Syrie et en Turquie. Pour ce qui est de l'armée Américaine, on estime qu'il y a 2 400 morts et 17 469 blessés, dont 8 137assez ou sérieusement blessés étant affligés de handicaps permanents, soit un total d'environ 20 000 soldats mis hors de combat, environ 12 % des effectifs engagés; avec les rotations, au total, plus d'un demi million de militaires américains on fait un tour de service en Irak

 

 

La guerre d'Irak aussi connue sous le nom de La troisième Guerre du Golfe, débute le 1 Mars 2003. Qualifiée de guerre asymétrique, elle oppose le parti bass de Saddam Hussein et les forces armées Américaines.

Ce qui fait la particularité de cette guerre est essentiellement la question de sa légitimité. En effet, les raisons de l'intervention Américaine n'ont pas toujours été claires. Il faudra donc étudier ces dernières, les enjeux intervenus au cours de cette guerre, afin de déterminer si elle peut-être qualifiée de  juste ou non...

une guerre aux multiples raisons...

Vos informations ont bien été envoyées !

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